Dernière actualité de l’AEHIT

Compte rendu de l’Assemblée Générale de l’AEHIT du 13 décembre 2022
La séance est ouverte à 10H30 Sont présents 10 membres, excusés et représentés 19 , absents excusés 20 : Après vérification il est établi que le quorum est atteint pour que l’assemblée générale puisse se tenir. Elle portera sur les années 2019, 2020, 2021 et 2022, la crise sanitaire n’ayant pas permis sa tenue depuis 2019. Bernard LAURENÇON, président, n’a pu assister pour raisons personnelles. Le président de séance est Lionel de TAILLAC. L’assemblée générale traite ensuite les questions à l’ordre du jour : 1° Rapport moral, rapport d*activité et rapport financier Malgré la crise sanitaire, l’association a eu...
Inspection en action
invitation à la rencontre sur le quarantième anniversaire des lois Auroux – 8 novembre 2022
Le 8 novembre 2022, la Fondation Jean Jaurès et l’ Institut National du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle ( l’INTEFP) organisent une rencontre sur le...
LIONEL de TAILLAC – octobre 2021-Diaporama sur l’histoire de l’inspection du travail
2021_10 Diapo Lionel de Taillac_-compressé
Faire une recherche
Recherchez ce que vous voulez n'importe où sur le site en écrivant vos mots-clés dans l'encart ci-dessous.
Vous souhaitez participer à la vie de l'AEHIT ?
Biographies des Inspecteurs du Travail
CAVAILLÉ Jean
Jean Cavaillé est né le 20 juin 1871 à Lacourt Saint-Pierre (Tarn et Garonne) de Pierre Cavaillé, cultivateur et de Marie Mieulet, ménagère. Après des études au lycée de Montauban, il obtient, en 1891, une bourse de 1 500 F pour suivre les cours de la faculté des...
Portraits & mémoire de personnes notables
Paul DELAMARRE 1878 – 1956 PREMIER INSPECTEUR GÉNÉRAL DU TRAVAIL EN INDOCHINE par Laure GINESTY
(Présentation de l’ouvrage par l’auteur) D’autres avant nous, fonctionnaires civils de l’État, ont assuré des fonctions d’inspecteur du travail français sur des territoires situés à des milliers de kilomètres de la France que l’on...
Qu’est-ce que l’AEHIT ?
L’AEHIT est née au printemps 1977, de la volonté de quelques fonctionnaires du ministère du travail appartenant à l’inspection du travail mais aussi à l’administration centrale, de garder trace de l’institution, rejoignant un mouvement né au début de la décennie.
Sous l’impulsion notamment de Guy Thuillier, haut fonctionnaire passionné par l’histoire de l’administration, l’on voyait naître quelques comités d’histoire alors que jusqu’alors, seules les Armées (Service historique des Armées) et les Affaires Étrangères avaient créé de véritables services d’archives et que les missions des Archives nationales auprès des différents ministères peinaient à se faire reconnaître.
En février 1973, le ministre Edgar Faure (au cabinet duquel appartenait Guy Thuillier) avait certes créée deux comités concernant l’un, la Sécurité sociale et l’autre, le Travail. Si le Comité d’histoire de la sécurité sociale, présidé durant des années par le Président Laroque et bénéficiant de l’appui des organismes de sécurité sociale, trouvait très vite son assise, l’arrêté du 26 février 1973 créant un « comité permanent des archives l’histoire du travail » réunissant historiens, fonctionnaires siégeant à titre personnel et membres de droit représentant les directions du ministère sous la direction du doyen Renouvin, ne fut jamais appliqué du fait, sans doute, du changement gouvernemental intervenant presque immédiatement.